Le séjour de Madame le Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Professeure Marie-Thérèse SOMBO, dans le Chef-lieu de la province a été une occasion salutaire pour la Représentation du Corps Scientifique de dénoncer à travers un mémo écrit, la situation qui prévaut au sein dans leur institution d’enseignement supérieur.

Laquelle situation est caractérisée pas la gestion opaque et catastrophique remplie du népotisme, tribalisme, la non maîtrise des textes qui régissent le secteur de l’ESU, le renvoi sans raison des agents et fonctionnaires de l’Etat sans le respect de la procédure en la matière et le tâtonnent des gestionnaires dans le management de la chose publique.

Contrairement à la démarche du roitelet Recteur de l’UOM, Apollinaire CIBAKA qui a saisi de cette présence de la Ministre pour vendre son image hypocrite en utilisant la conseillère en communication de la Ministre, la professeure BAYEDILE de l’IFASIC pour faire sa publicité et la préparation d’un membre du Synacass /ISP-Mbujimayi, le Chef de Travaux Jean Chrysostome KABUYA KABUYA pour porter auprès de la Ministre les problèmes de l’UOM. La Représentation du Corps Scientifique n’a pas brillé par l’absence. Cette présence au chapiteau de l’hôtel Gloria de Mbujimayi, était une occasion salutaire pour le Chef de Travaux PAPIAS PENAWEMBO de rappeler au Professeure Marie-Thérèse SOMBO à n’est pas tombé dans la corruption qui a caractérisée son prédécesseur MOHINDO NZANGI.

Chose plus grave, le Recteur de l’UOM s’est arrangé avec ce Scientifique de l’ISP Mbujimayi, son frère du territoire d’origine pour rencontrer le ministre et parler au nom de l’UOM sans la présence de la Représentation du Corps Scientifique. Comportement déjoué par le Représentant de ce corps qui dénonce cette cabale entretenue par le Recteur qui lutte pour sa reconduction au poste, et tient à l’œil les scientifiques de l’ISP de faire preuve d’honnêteté scientifique, tout en leur signifiant que l’UOM n’est pas leur école d’application comme EDAP MULEMBA.

Ci-joint, le mémorandum des scientifiques de l’UOM.

Nous devons déjà commencer à surveiller le fleuve…